Yep et c'est en ça que malgré tout ce chapitre a apporté quelque chose : un nouvel élément.
Ok ça fait un peu répétition avec ce qui a été dit plus haut, mais ça vaut quand même le coup de s'y attarder 5 minutes, vu le peu de nouveauté apportées récemment.
Car avant on avait donc :
-Des dimensions distinctes, mais qui parfois pouvaient se chevaucher (cf le seuil)
-une sorte de clé, la béhérit, qui servait à ouvrir certaines dimensions, mais dont l'utilisation était assez incertaine (la béhérit n'ayant jamais été livrée avec un mode d'emploi), qui en plus avait pour "bénéfice" de rendre son utilisateur non-humain
Aujourd'hui on a :
-Des dimensions plus ou moins fusionnées, on ne sait ni à quel point ni dans quelle profondeur, qui rendent la clé en tant que telle obsolète. Par contre on ne sait toujours pas ce qu'il en est de la "transformation" en Apôtre
-Un portail, et surement d'autres, issu des temps anciens, qui sert à première vue, non pas à voyager de plans astraux à autres plans astraux (même si ça reste une possibilité pour rejoindre les plans les plus profonds si on y rajoute certaines conditions), mais à ce rendre d'un point A à un point B de la
même dimension dans une sorte de contraction de l'espace-temps.
Conclusion de tout ce blabla : ça sent le retour à la trame principale, puisque Miura développe un concept déjà présent dans le récit.
Du coup, on peut donc supposer que :
-Guts et ses supers coupains vont se servir d'un passage de ce genre pour rejoindre le continent (exit les 78 chapitres de voyage en bateau
![banane :ban:](./images/smilies/smile-banane.gif)
), mais ça on avait tous compris je pense
-La béhérit (en général) pourra servir à accéder aux dimensions plus profondes qui n'ont pas ou peu été affectées par la Fantasia, notamment avec l'aide de Skully et de son épée Big Betty
(nom provisoire), puisque en plus il a l'air quand même d'avoir un don pour ouvrir les dimensions, ce qui pourrait être plutôt utile pour aller déloger Void et ses coupains, ou encore même Idea (même si ça j'y crois pas trop)