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La transcendance paradoxale

Posté : 13 janv. 2009, 11:38
par microu
:/!\: Attention ca va très vite, la démonstration est presque triviale et implacable, et ça décrédibilise tout Berserk

J'ai un rêve, un but sacré.
Pour pouvoir l'accomplir, je dois devenir un God Hand
Pour devenir un GH, je dois sacrifier ce que j'ai de plus cher.
Ce que j'ai de plus cher, c'est mon rêve.
Je le sacrifie, je n'ai plus de raison d'être un GH

:arrow: Application directe :mrgreen: :

Le rêve de pouvoir de Griffith est plus important que sa troupe puisqu'il sacrifie les faucons pour atteindre "le château".
Ce qu'il a de plus cher au monde c'est ce rêve de grandeur inaccessible. Si on est logique, pour devenir GH, c'est donc ce rêve qu'il aurait du sacrifier et non pas la troupe du faucon.
CQFD :ban:

Re: La transcendance paradoxale

Posté : 13 janv. 2009, 11:40
par nirvaniaultra
:wink:

Re: La transcendance paradoxale

Posté : 13 janv. 2009, 12:11
par Shekil
Il ne faut pas confondre le sentiment qui invoque la béhérit et l'élément sacrifié.
Le rêve de Griffith en s'écroulant provoque l'occultation. Il n'a plus de rêve,c'est terminé quand les GH arrivent. Vu que son rêve est mort il sacrifie la troupe qui comporte son seul ami (Guts) et Casca qu'il semble aimer dès qu'il se rend compte qu'il ne peut plus l'atteindre.

Donc on a d'un côté la clef émotionnelle et de l'autre l'offrande. Les deux étant bien distincts.

Re: La transcendance paradoxale

Posté : 13 janv. 2009, 14:23
par Folken
C'est un genre de blague microu ?

Re: La transcendance paradoxale

Posté : 13 janv. 2009, 16:09
par Shekil
C'est aussi une solution possible. Je ne connais pas l'individu en question.

Re: La transcendance paradoxale

Posté : 13 janv. 2009, 16:41
par Chaherit
Mais non, à vrai dire c'est assez intéressant comme question !

On pourra tout de même y rétorquer en disant que la troupe du faucon est le moyen de parvenir à son rêve, donc son rêve. Elle en fait partie intégrante, l'un n'existe pas sans l'autre ; ce faisant il a détruit son rêve puisqu'il a consacré toute sa vie à cette troupe dans ce dessein... mais a gagné par la même occasion un moyen détourné de réaliser ce même rêve rêve !

Le God Hand volant-moche le fait bien remarquer, le rêve de Griffith n'est accessible que par l'accumulation de cadavres. Et c'est la troupe qui accumule ces cadavres, pas de doute possible, Griffith a sacrifié ce qui lui est le plus cher.

Rien ne s'emmêle, tout concorde, Berserk est sauvé. :ban:

Re: La transcendance paradoxale

Posté : 13 janv. 2009, 17:48
par Hellpredator
Le sacrifice exige une offrande de chair il me semble.
Le rêve de Griffith est une utopie.

Comment payer le prix avec un idéal lorsque la "somme" exigée relève du palpable ?

Re: La transcendance paradoxale

Posté : 13 janv. 2009, 17:54
par Kei Katsura
Hellpredator a écrit :Le sacrifice exige une offrande de chair il me semble.
Le rêve de Griffith est une utopie.

Comment payer le prix avec un idéal lorsque la "somme" exigée relève du palpable ?
Je plussoie cette idée.

Re: La transcendance paradoxale

Posté : 13 janv. 2009, 19:22
par microu
Évidemment, si l'offrande est de chair cette superbe théorie s'écroule. C'est dit explicitement ? Et pourquoi est-ce que ca devrait être si matérialiste ! J'aimais bien le concept d'abandonner une idée, de se résigner à l'échec de son voeu le plus cher.
Je connais pas tout berserk par coeur, alors hellpredator si tu sais ou est-ce que c'est mentionné, je suis preneur :)

Re: La transcendance paradoxale

Posté : 13 janv. 2009, 19:54
par Hellpredator
Je n'en ai pas la certitude. C'est juste que jusqu'ici, tous les sacrifices visibles étaient des êtes vivants...
Et offrir son rêve (encore à l'état de pensée j'entends par là, cad pas vraiment existant) le plus fou à une "communauté" comme les GH et leurs apôtres affamés, de leur point de vue je trouverais ça un peu léger...

Re: La transcendance paradoxale

Posté : 13 janv. 2009, 20:15
par microu
bon c'est vrai, j'etais ptetre un peu a fond..
ou alors d'une totale mauvaise foi :mrgreen:

Re: La transcendance paradoxale

Posté : 13 janv. 2009, 20:20
par Raiijin
tome 3 : Femto : Tu dois sacrifier le réceptacle de tes pensées le plus proche pour laisser la malignité fendre ton coeur sur son chemin [....] Sépare toi de ton amour comte !
Je pense que tout est clair il faut sacrifier la (les) personne(s) qui comptent le plus a nos yeux pour perdre notre coté humain (en gros vendre son ame au diable ) a la fin il ne reste en générale ( jamais trouvé de contre-exemple ) qu ' une obsession aux apotres souvent un semblant de leurs vie passée ( vivre en s ' amusant; etre un elfe; chercher des combattant puissant ). La troupe du faucon était l 'outil pour parvenir a son reve c ' était donc normal que ce soit le réceptacle de ses pensées le plus proche (évidement il y avait plus ...) voilà pourquoi son sacrifice est parfaitement dans la continuité de son reve ou de ce qu ' il en a cru par les god hand (finalement d ' un coté il ne fait que jeté une vieille epée contre une epée flambant neuve quelle affaire et c ' est certainement ce genre de vision qui permet a femto d' etre aussi hautain ).

Re: La transcendance paradoxale

Posté : 13 janv. 2009, 20:26
par Shekil
Pas de troupe du faucon => Pas de rêve => Perte de ce qu'il a de plus cher
Pas de troupe du faucon => Perte de ce qu'il a de plus cher

Donc oui,la troupe est ce que griffith à de plus cher.

CQFD

Re: La transcendance paradoxale

Posté : 13 janv. 2009, 22:47
par Azzo
Shekil a écrit :Pas de troupe du faucon => Pas de rêve => Perte de ce qu'il a de plus cher
Pas de troupe du faucon => Perte de ce qu'il a de plus cher

Donc oui,la troupe est ce que griffith à de plus cher.

CQFD
Cet argument tient vraiment la route au regard de la reformation de la nouvelle troupe du faucon.

Et j'ajouterai même que le rêve le plus cher de Griffith n'est pas de devenir un God Hand, mais de conquérir son royaume, à l'aide de la troupe du faucon. Sinon, pourquoi revenir sur Terre et reprendre forme humaine?

Re: La transcendance paradoxale

Posté : 14 janv. 2009, 01:17
par Chaherit
On peut ne pas sacrifier un être vivant, mais une idée, mais il semble que ça [img]implique[/img] toujours du sang humain.
Tout comme l'Apôtre Béhérit n'a pas vraiment sacrifié la foule devant la Tour des Chatiments, mais un concept, qui impliquait cette foule.

Encore une fois, Griffith a donc bien sacrifié son rêve, celui-ci impliquait juste la troupe.