Shekil a écrit :Kei Katsura a écrit :Je corrige toutes les erreurs grâce au correcteur d'ortho et cela à tout mes posts si tu avaiS fait gaffe. Normalement il n'y a que des fautes de conjugaisonsAzzo a écrit :Mouais, j'ai tendance à penser que sur les forums il y a une grosse part de paresse de la part des utilisateurs qui veulent pas se casser le cul à rédiger des messages corrects.Kei Katsura a écrit : Je sais je suis fâché et traumatisé (vive le lycée) par les conjugaisons et les accords
Au pire, utilise Firefox, il a un correcteur d'ortho très pratique^^
Vers une regression de l'ortographe française
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Malheureusement....
Même si l'orthographe ce n'est pas mon point fort je ais toujours un minium attention à ma façon d'écrire. Mais quand je regarde certains plus jeunes c'est terrible,en plus d'un problème de correction de la langue,leur écriture est souvent illisble....
Même si l'orthographe ce n'est pas mon point fort je ais toujours un minium attention à ma façon d'écrire. Mais quand je regarde certains plus jeunes c'est terrible,en plus d'un problème de correction de la langue,leur écriture est souvent illisble....
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Le mouvement Kikoolol. C'est fashion, que pouvons-nous y faire.
Et pire encore, une grande part d'adultes est également touchée.
Quand je vois l'écriture de ma mère x)...
Les annonces sur des sites de vente, les pancartes devant un stand/restaurant/etc., et bien sûr les forums.
On y trouve de sacrées perles de langue française assassinée.
Il arrive même à certains profs d'écrire de belles conneries au tableau (enfin chez moi il arrivait, au collège).
Et pire encore, une grande part d'adultes est également touchée.
Quand je vois l'écriture de ma mère x)...
Les annonces sur des sites de vente, les pancartes devant un stand/restaurant/etc., et bien sûr les forums.
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Il arrive même à certains profs d'écrire de belles conneries au tableau (enfin chez moi il arrivait, au collège).
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Des profs qui savaient pas aligner deux phrases sans faire des fautes, j'en ai eu pendant toute me scolarité, que ce soit à la fac ou dans les petites classes (et pas pour des trucs vicieux, des erreurs grossières) On peut se poser la question de leur capacité à corriger celles de leurs élèves...Hellpredator a écrit :Il arrive même à certains profs d'écrire de belles conneries au tableau (enfin chez moi il arrivait, au collège).
Modifié en dernier par Azzo le 10 déc. 2008, 23:27, modifié 1 fois.
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En même temps, quand on voit à quel point les dictées et autres exercices grammaticaux sont supprimés de plus en plus tôt, il n'y a pas de quoi s'étonner, d'autant plus que les gens lisent de moins en moins, ou du moins lisent de moins en moins de vraie littérature, à défaut de magazines people ou autres revues où fourmillent des fautes tellement répandues qu'elles ne choquent même plus : " je suis aller " par exemple...
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C'est un peu en train de changé car les faculté en ont ras le bol de recevoir des personnes qui parlent et écrivent mal le français du coup il y a de plus en plus de dictée (j'en suis témoin en 3eme je n'ai eu que des dictées en contrôles et ce durant toute l'année, mais suis-je une bonne référence?) et ils veulent instauré des cours de philo pour les ingénieurs ou les médecins mais bon entre ce qu'ils disent et ce qu'ils font...Folken a écrit :En même temps, quand on voit à quel point les dictées et autres exercices grammaticaux sont supprimés de plus en plus tôt, il n'y a pas de quoi s'étonner, d'autant plus que les gens lisent de moins en moins, ou du moins lisent de moins en moins de vraie littérature, à défaut de magazines people ou autres revues où fourmillent des fautes tellement répandues qu'elles ne choquent même plus : " je suis aller " par exemple...
"les vrais génies meurent avant 20 ans, vivre plus longtemps dans ce monde absurde est d'une telle inutilité"
Je vais donc vivre très longtemps.
Je vais donc vivre très longtemps.
" Des professeurs distribuant des tracts gare Saint-Lazare déguisés en Père Noël. Des parents d'élèves occupant des écoles de nuit à Montpellier. Des enseignants entrés en « désobéissance » ou signant une pétition pour demander carrément la démission du ministre. L'approche des vacances scolaires n'entame ni la détermination ni l'imagination du milieu éducatif pour infléchir les réformes en cours Rue de Grenelle (13.500 suppressions de postes au budget 2009, soutien scolaire, nouvelle classe de seconde...).
« Eviter les débordements »
Pour préserver la feuille de paie des enseignants, les syndicats avaient délaissé hier la traditionnelle grève au profit de - nombreuses - actions symboliques. Mais les lycéens ont pris le relais sur le macadam. Dans l'ouest de la France, des dizaines d'établissements ont été perturbés depuis le début de la semaine, et si la plupart des manifestations étaient bon enfant, certaines ont dégénéré (à Brest) sous l'influence, notamment, de casseurs ou de militants d'extrême gauche. Ce durcissement précoce inquiète le milieu éducatif. « Jusqu'alors, les chefs d'établissement arrivaient à contenir les violences ; cette fois, des incidents violents arrivent immédiatement. J'ai des craintes, surtout pour janvier, je sens la mobilisation en train de monter », affirme le secrétaire général du principal syndicat des chefs d'établissement, le SNPDEN, Philippe Guittet.
La FCPE, principale fédération de parents d'élèves, a appelé ces derniers à être présents dans les cortèges pour « éviter d'éventuels débordements ». Quant au ministre de l'Education nationale, Xavier Darcos, il a reconnu sur Europe 1 que « cela l'inquiétait », tout en se gardant bien de stigmatiser les lycéens, qu'il ne « confond pas avec des bandes radicalisées qui viennent tout casser ». Fin connaisseur du système, le ministre de l'Education sait la nécessité de redoubler de prudence, tant les mouvements de jeunes, réputés incontrôlables, sont de ceux qui font achopper les réformes (CPE, loi Fillon, loi Devaquet...).
Il avait d'ailleurs joué en amont la concertation avec les organisations lycéennes sur sa réforme du lycée. En vain ? La réforme, finalisée ces jours-ci, sera dévoilée mardi prochain et cette dernière ligne droite s'annonce délicate pour le ministre. Les syndicats, requinqués par les manifestations, soutenus par une gauche (PS, LCR) qui fait feu de tout bois sur cette question, font monter la pression en agitant la menace d'actions au mois de janvier.
Xavier Darcos, lui, joue sur les deux tableaux. Pour rassurer l'opinion publique, il s'efforce de minimiser les mouvements (une « petite concentration de mécontentements », « presque habituels ») et de réexpliquer ses réformes (il écrira prochainement aux parents d'élèves). Plus discrètement, il multiplie les gestes d'apaisement en direction des protestataires (professeurs de maternelle, de sciences économiques). Reste à savoir si cela suffira."
Récapitulatif des blocage sur les réformes scolaires :
1984 : la droite organise un rassemblement contre le projet socialiste de nationalisation des écoles, Mitterand la retire
1986 : le projet Devaquet avorte
1992 : la gauche mobilise ses forces contre la loi Bayrou autorisant des subventions de la part des collectivités territoriales envers les écoles privées (remise en cause de la loi Falloux). Le gouvernement renonce
1994 : contrat d'insertion professionnelle de Balladur rate
1995 : flop de la circulaire de Fillon concernant l'IUT
1998 : le projet Allègre tombe à l'eau
2003 : même constat pour le traducteur du philosophe allemand Kant alias Ferry sur l'autonomie des facs
2005 : non à Fillon pour la réforme du bac
2006 : Refus du CPE de Villepin
« Eviter les débordements »
Pour préserver la feuille de paie des enseignants, les syndicats avaient délaissé hier la traditionnelle grève au profit de - nombreuses - actions symboliques. Mais les lycéens ont pris le relais sur le macadam. Dans l'ouest de la France, des dizaines d'établissements ont été perturbés depuis le début de la semaine, et si la plupart des manifestations étaient bon enfant, certaines ont dégénéré (à Brest) sous l'influence, notamment, de casseurs ou de militants d'extrême gauche. Ce durcissement précoce inquiète le milieu éducatif. « Jusqu'alors, les chefs d'établissement arrivaient à contenir les violences ; cette fois, des incidents violents arrivent immédiatement. J'ai des craintes, surtout pour janvier, je sens la mobilisation en train de monter », affirme le secrétaire général du principal syndicat des chefs d'établissement, le SNPDEN, Philippe Guittet.
La FCPE, principale fédération de parents d'élèves, a appelé ces derniers à être présents dans les cortèges pour « éviter d'éventuels débordements ». Quant au ministre de l'Education nationale, Xavier Darcos, il a reconnu sur Europe 1 que « cela l'inquiétait », tout en se gardant bien de stigmatiser les lycéens, qu'il ne « confond pas avec des bandes radicalisées qui viennent tout casser ». Fin connaisseur du système, le ministre de l'Education sait la nécessité de redoubler de prudence, tant les mouvements de jeunes, réputés incontrôlables, sont de ceux qui font achopper les réformes (CPE, loi Fillon, loi Devaquet...).
Il avait d'ailleurs joué en amont la concertation avec les organisations lycéennes sur sa réforme du lycée. En vain ? La réforme, finalisée ces jours-ci, sera dévoilée mardi prochain et cette dernière ligne droite s'annonce délicate pour le ministre. Les syndicats, requinqués par les manifestations, soutenus par une gauche (PS, LCR) qui fait feu de tout bois sur cette question, font monter la pression en agitant la menace d'actions au mois de janvier.
Xavier Darcos, lui, joue sur les deux tableaux. Pour rassurer l'opinion publique, il s'efforce de minimiser les mouvements (une « petite concentration de mécontentements », « presque habituels ») et de réexpliquer ses réformes (il écrira prochainement aux parents d'élèves). Plus discrètement, il multiplie les gestes d'apaisement en direction des protestataires (professeurs de maternelle, de sciences économiques). Reste à savoir si cela suffira."
Récapitulatif des blocage sur les réformes scolaires :
1984 : la droite organise un rassemblement contre le projet socialiste de nationalisation des écoles, Mitterand la retire
1986 : le projet Devaquet avorte
1992 : la gauche mobilise ses forces contre la loi Bayrou autorisant des subventions de la part des collectivités territoriales envers les écoles privées (remise en cause de la loi Falloux). Le gouvernement renonce
1994 : contrat d'insertion professionnelle de Balladur rate
1995 : flop de la circulaire de Fillon concernant l'IUT
1998 : le projet Allègre tombe à l'eau
2003 : même constat pour le traducteur du philosophe allemand Kant alias Ferry sur l'autonomie des facs
2005 : non à Fillon pour la réforme du bac
2006 : Refus du CPE de Villepin
Et si c'était la faute des ministres?
Je ne crois pas une seule seconde que ça amuse les profs de manifester comme ça. J'étais dans un bon lycée parisien,avec des profs au statut trés trés confortable qui pouyrtant ont considéré ces réformes comme de véritables menaces pour le système éducatif...
Et entre des profs qui voient la réalité au quotidien et un ministre au fond de son cabinet,le choix est vite fait.
Je ne crois pas une seule seconde que ça amuse les profs de manifester comme ça. J'étais dans un bon lycée parisien,avec des profs au statut trés trés confortable qui pouyrtant ont considéré ces réformes comme de véritables menaces pour le système éducatif...
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